Rencontre au village :D (avec les inscrits xD)

Une journée qui s’annonçait plutôt bien. Mis à part que maintenant, il avait deux bouches à nourrir : le mini gobelin et Awen. Enfin. Au moins, Awen ne s’ennuyait pas trop et lui pouvait rester un peu seul. Levé à 6 heures du mat’ (et je reprends ma phrase culte : il est fou, Kyô…). Il avait regardé par la fenêtre la beauté des premiers rayons du soleil. Les jours se faisaient de plus en plus courts. Qu’importait-il ? Kyô aimait chaque saison et les accueillait avec joie chaque année. Là, l’été allait se finir dans un mois. Il faisait chaud. Pas une chaleur de canicule mais cette douce chaleur qui vient nous titiller la peau le matin dès que le soleil apparaît. Cette chaleur qui donnait tant envie de sortir.
C’est ce que fit Kyô. Il se fit vite fait sa petite toilette dans son broc à l’eau froide et s’habilla vite fait. Débardeur blanc qui laissait voir ses bras musclés et bronzés, jean levis 501, son jean fétiche qu’il ne quittait pas depuis son entrée à Mélusina. Il lui allait toujours. En même temps, il fallait dire qu’à l’époque, il était trop grand pour lui. Il l’avait euh… emprunté à durée indéterminée chez H&M et n’avait pas vérifié la taille. Depuis, ce jean s’était un peu troué, un peu blanchit, mais c’était tout ce qui faisait son charme. Il se dépêcha de chausser ses converses noires complètement niquées et décolorées, et sortit. Il inspirait sa bonne dose d’air frais. Un air que l’on ne retrouvait plus dans le monde des humains. Grâce à la magie, les gens polluaient beaucoup moins, sauf en fumant, mais cet air était si difficilement polluable qu’une clope ne ferait absolument pas de mal. Justement. Il sortit son paquet de garrots, et grâce à sa maîtrise du feu, l’alluma avant d’en inspirer une bonne bouffée.

* C’est quand même pratique de maîtriser le feu ! *

Pensait-il amusé. Il marcha un peu, se demandant où il pouvait bien aller. Il se décida enfin pour le village. Il éteignit alors sa clope pendant un moment pour la ranger dans sa poche, déplia ses grandes ailes blanches et s’envola. Haut. Il aimait cette hauteur. Il aimait la vitesse. Ses bâtiments qui ressemblaient à des maisons de poupée… et Mélusina qui s’élevait, grande, toisant toutes les autres habitations. Kyô sourit, amusé. Cette école pouvait penser ce qu’elle voulait, lui était placé bien plus haut qu’elle. Volant au même niveau que les aigles, qui le regardaient d’un air intrigué. Kyô s’était demandé un jour comment les ailes pouvaient-elles porter une créature humanoïde. C’était techniquement impossible compte tenu de la taille et de la morphologie de ces dites créatures. Il avait donc longuement étudié la question, à l’aide d’un papier et d’un stylo et en était arrivé à la conclusion que, plus que ces ailes, c’était la magie qui était en nous qui faisaient voler certains êtres. Kyô avait alors compris la raison pour laquelle il avait chuté, il y a quelques années. A l’époque, il contrôlait encore très mal sa magie. Comme els gens changent. Aujourd’hui, le junkie sans avenir qu’il était avant d’arriver dans cette école avait été remplacé par cet être érudit. Lui-même ne se reconnaissait plus. A l’époque, il n’était encore qu’un gamin égocentrique, transparent, mais qui aimait la fête et les autres (bien plus qu’il ne le pensait, d’ailleurs). Aujourd’hui, il était devenu quelqu’un de généreux, et assez calme. Toujours aussi transparent et renfermé. Préférant écouter les autres plutôt que parler de lui. Il ne voulait pas parler de lui. Pour rien au monde il ne révèlerait ce qu’il avait vécu. Surtout dernièrement. Dans les enfers… depuis, il était comme un oiseau en cage. Adieu la pureté de ses 17 ans.
Repensant à toutes ces choses, il descendit précautionneusement, pour atterrir sur un gros rocher à l’entrée du village, provoquant une foule d’exclamations de la part des villageois. Ces derniers étaient au courant de l’existence d’une école magique, et pour eux, humains sans pouvoirs, ‘était toujours assez impressionnant de voir débarquer ce genre de créatures. Le jeune hybride ange et fée soupira, en regrettant amèrement d’avoir eut la bêtise de se poser dans un endroit aussi voyant. Toujours perché en haut du rocher, il sortit sa clope éteinte, qui s’était un peu abîmée au cours du voyage, puis l’alluma de nouveau. Bien sûr, les villageois ne se rendirent pas compte que Kyô venait de faire de la magie, il s’était débrouillé très discrètement pour ne pas éveiller de nouvelles crises d’hystérie, surtout venant des jeunes filles qui étaient à chaque fois très heureuses de voir débarquer des beaux gosses de l’académie. Et Kyô en faisait partie. Grand, assez bien foutu, sans compter ses traits de visages assez fins, qui s’était un peu plus virilisés depuis quelques temps. Kyô était devenu un homme. La seule chose qui ne changeait pas chez lui était ses yeux en amande, presque bridés, couleurs ambre, voire dorée et ses cheveux, toujours châtains et un peu décoiffés qui lui tombaient devant les yeux à cause du vent. Kyô avait la flemme de les remettre à leur place, mais faisait quelques gestes histoire de chasser les mèches vraiment trop aveuglantes. Puis il abandonna et commença à tirer un bon coup (aucune allusion, s’il vous plaît xD) sur sa clope. Il répondit aux cris des filles par de brefs saluts de politesse, n’étant pas assez hautain pour les ignorer.

Xysto avait passé la nuit dans la salle d'astronomie. Personne ne l'en avait empêchée et personne n'avait semblé se soucier de sa disparition d'une nuit. Evidemment, ce n'est pas Xysto qui aurait songé qu'on aurait pu s'inquiéter...

Elle avait repéré cette salle depuis un petit moment déjà et s'était installée là avec son sac de couchage élimé et quelques provisions. Une bonne partie de la nuit, elle avait observé la lune, pleine ce jour là, qui avait prit d'étranges couleurs ocres et les constellations parfaitement nettes grâce à une météo idéale.

Elle s'était réveillée de manière très matinale, ce qui n'était pas dans ses habitudes, mais le soleil levant lui avait éclairé le visage et malgré le fait qu'elle se fut tournée dans son sommeil, elle n'avait pu éviter la brise légère et matinale qui l'avait quelque peu glacée.

Ouvrant un oeil couleur noisette à moitié endormi, elle avait râlé, s'était tournée de nouveau, puis finalement, avait rejeté la couverture de très mauvaise humeur. Elle avait dormi toute habillée et bien que ses vêtement n'aient déjà plus de formes, ils s'étaient un peu froissés.

Ce n'est que cinq minutes plus tard qu'elle se rendit compte de l'endroit où elle se trouvait : Sur le balcon d'astronomie ! La vue des télescopes magiques lui rendit le sourire qui éclaira un minois volontaire et agréable et attrapant une barre de céréales, elle l'engloutit sans manière en scrutant l'horizon à défaut du ciel.

Sa barre s'arrêta quelque part entre sa bouche et sa gorge tant sa surprise fut grande : Un oiseau gigantesque se jetait sur le petit village en contrebas !

Sans réfléchir d'avantage, elle saisit son bâton et courut à la rescousse des pauvres villageois qui seraient certainement ses proies, dévalant quatre à quatre les escaliers, toussant, crachant et s'essoufflant... La course lui était facile ayant reçu de la nature une paire de bonnes jambes qu'elle avait régulièrement entrainés de par ses pérégrinations aux cotés de son père excentrique. De taille plutôt moyenne, rien de sa silhouette féminine ne transparaissait dans sa salopette brune et son gros sweet bleu nuit, son éternel sac brun en bandoullière lui battant les flancs...

Une fois arrivée dans les parages - la barre de céréales vaincue (kyaï !!)! - elle fonça vers l'endroit où le carnage avait du avoir lieu : Le temps d'arriver, sûrement que l'affreuse bête avait du repartir... Mais ça, elle n'y avait songé qu'une fois la maudite barre avalée...

Mais curieusement, tout semblait en ordre... Ah ! Non ! Là-bas ! Un attroupement s'était fait autour... Autour ? Elle s'approcha très décidée, préparée au pire quand elle aperçut Kyô en train de draguer, la cigarette à la main... * Kyô ?* La jeune fille aux cheveux noirs en bataille, coupés en carré approximatif, courut vers lui :

"- Kyyyyyôôôô !" cria t-elle en s'élançant vers lui ! Oublié les carnages, les oiseaux monstrueux et les supers exploits inégalés de notre super héroïne ! Il n'y avait plus que l'homme aux ailes d'oiseau... * ... Aux ailes d'oiseau ? J'avais jamais remarqué.... * se dit elle sans faire le lien avec l'oiseau prodigieux qu'elle avait entraperçu plongeant vers le village...

" - Tiens ? T'as des ailes ?" dit elle, la constatation stoppant net son élan... Puis réalisant qu'Awen n'était pas là elle ajouta :" - Awen n'est pas là ?"

Ce qu’il faisait beau dehors, en ce moment même, à cet endroit même. Même si la journée de la préfète semblait avoir mal commencé, la belle température semblait tout faire oublié. Que s’était-il donc passer? En se levant, aux premières lueurs de l’aube comme à son habitude, elle s’était frappée le petit orteil sur le coin de son lit, puis, en voulant aller déjeuner, elle avait renverser son verre de jus d’orange partout sur la table des Primera. Elle avait donc décidé d’aller dehors et de tout oublié. Après tout, comment pourrait-elle faire des bêtises à l’extérieur? Elle était maladroite, oui, on devait l’admettre, mais il y avait un point où cela s’arrêtait. Du moins, d’après elle.

Laissant doucement le vent caresser ses longs cheveux blonds, qu’elle avait attacher en deux couettes, elle avança sans trop savoir où aller. Cette simple coupe semblait l’avoir rajeunit de quelques années, tout en la rendant des plus mignonnes. C’était comme ça qu’elle appréciait coiffer ses cheveux lorsqu’il faisait chaud, ainsi, le vent atteignait facilement sa nuque, et cela la rafraîchissait. Elle s’arrêta un instant pour contempler quelques oiseaux qui gazouillaient dans un arbre. Ce que la vie semblait facile pour eux. Si simple, tranquille, il n’avait rien à faire d’autres que de gazouiller et voleter au soleil. Elle les enviant un peu. La préfète continua son chemin laissant ses jambes la mener là où elles le voudraient bien et elle se perdit dans ses pensées, dans un monde où la magie n’existe pas, dans son ancienne vie.

Ce fut le bruit de beaucoup d’agitation qui ramena la Primera à la terre ferme. Il lui fallu un instant pour replacer où elle se trouvait. Le village. Elle avait marcher si longtemps? Elle ne s’en était pas rendue compte. Ses beaux yeux bleus clairs se posèrent alors sur la foule qui s’était formée au centre de la place. Que se passait-il? La curiosité la poussa à aller se coincer dans la foule et à s’y frayer un chemin. Pas en poussant, non, ce n’était pas vraiment son genre. Elle préféra se glisser dans les trous, pour finalement se rendre environ au milieu de la foule. Or, étant dans les plus petites, si ce n’était pas la plus petite, elle ne voyait rien, même sur la pointe des pieds. Elle regarda autour d’elle, à la recherche d’un nouveau trou, puis aperçut Vayuhq, le préfèt de Férovia, l’une des seules personnes à qui elle avait parlé à Mélusina. Elle s’approcha de lui et lui demanda, en devant hausser un peu la voix vu toutes les voix qui s’élevaient aux alentours : « Qu’est-ce qui se passe? ».

Kyô reconnut Xysto sans hésitation et descendit même de son rocher pour venir la saluer : Geste qu'elle apprécia particulièrement : Au moins ne serait elle pas prise pour une de ces hystériques qui la bousculaient encore un peu pour voir Kyô de près... Il prit des nouvelles de sa santé auxquelles Xysto répondit d'un hochement de tête et d'un grand sourire.

Elle aurait souhaité continuer de discuter avec la seule personne qui ait prit le temps - un peu malgré elle, d'ailleurs - de s'approcher de notre petit phénomène, mais entre les groupies qui faisaient des pieds et des mains pour attirer l'attention de l'hybride et sa propre envie d'être dans un endroit plus calme, ce souhait ne se réalisa pas... Dommage, elle serait bien repartie à l'aventure : Avec un compagnon comme Kyô aucune chance de s'ennuyer en route... *Il est tellement fort...*

Et puis, de toute façon, une grosse mégère - C'est comme ça que voyait Xysto les filles qui ne se prenaient pas pour personne - le harangua depuis l'extérieur de la cohue :
« Bonjouuuuuuuuur la populass’... Je vois qu’Awen avait raison, tu n’as vraiment aucun goût pour t’habiller… »

d'abord Xysto regarda d'où venait la voix puis elle tenta de regarder ce qu'elle reprochait au juste à Kyô sans réellement saisir en quoi les dits vêtements étaient si affreux que ça... Mais entre Kyô qui, tel un ange déchu avait perdu ses ailes et l'apostrophe de Madyson, l'attroupement eut un mouvement qui entraina la jeune fille qui marcha sur le pied d'un garçon *Il attire aussi les garçons ? et bin...* aux cheveux presque blancs...

" - Oh ! Pardon..."dit elle sincèrement ennuyée... Mais elle n'eut pas le temps de voir si ça allait car l'animation continuait : Décidément ce Kyô était très demandé : Non seulement il salua très convenablement l'autre excitée de la langue malgré ses remarques fort peu agréables mais ensuite, il salua le garçon sur qui elle venait de marcher et s'en allait saluer une autre encore si une nouvelle dérangée n'était pas arrivée... L'attroupement d'hystériques commençait à en pensait autant : Les rangs s'éclaircissaient doucement mais sûrement... Et tant mieux, de l'avis de Xysto... * Enfin...Il parlait avec moi quand même...*se renfrogna t-elle *Il pourrait me ptésenter au moins !*

Mais Xysto n'était pas au bout de ses surprises ! La nouvelle arrivée avait la langue aussi bien pendue que la première... Etait ce dans les us et coutumes du coin de se faire remarquer à ce point ? Xysto qui passait pour une excentrique là d'où elle venait se sentit d'une banalité bien morne...

Et puis il y eut la réaction de Kyô : Non, Xysto ne se serait jamais attendue à une réaction telle que celle là ! Elle qui s'était fait une image peut-être un peu naïve du bonhomme, était quand même bien loin de se douter qu'il pouvait revêtir des allures aussi perverses. Ses yeux s'agrandirent bien que ses oreilles ne puissent entendre un traître mot de ce qu'il chuchota à Mary. Mais l'expression de son visage était terrifiante.

Xysto regarda autour d'elle : Etait elle la seule à trouver ces gens là si... bizarres ? Non, bien sûr... Les rangs de groupies devenaient inexistants... Réaction de fuite certaine devant un phénomène qui dérangeait... Xysto aurait bien fait comme elles... Elle aurait même souhaitée n'avoir jamais été là. Elle frissona en le voyant attraper la main de la jeune fille... Bien sûr, elle n'aimait pas ce genre de prétentieuse qui se croyaient au dessus de tous, mais tout de même... Elle eut un peu pitié.

" - Eh ! Kyô... " dit elle d'une petite voix que seul son courage portait mais que le malaise faisait trembler " - ça va aller là... C'était juste pour rire... " dit elle encore pour calmer la créature qu'elle avait du mal à reconnaître.

Avant d’avoir eut l’occasion de se déniaiser et de dire quelque chose aux deux jeunes dignes d’intérêt qui se trouvaient à côté de lui, une voix retentit à travers la foule.

« Bonjouuuuuuuuur la populass’ »

En tournant la tête, Vayuhq aperçut une jeune fille debout au milieu de la place, une guitare à la main. Elle porta son intérêt sur Kyô et critiqua son habillement, citant une certaine Awen. Décidemment, le vendeur avait toute l’attention aujourd’hui. Enfin pas qu’il demandait qu’on le remarque, pour une fois que personne ne faisait mention de son apparence singulière. Le jeune homme se sentait tout de même bien piquet à rester là. Enfin,il pouvait toujours essayer de communiquer avec la charmante demoiselle qui venait de se présenter. Il ne la connaissait nullement, bien que son visage lui rappelât quelque chose, très vaguement. Il observa pendant quelques minutes cette dernière, sans vraiment essayer de se souvenir d’elle. Une voix familière vint cependant rompre sa silencieuse observation. En se retournant, il tomba sur Amily, la petite préfète de Primera. Elle lui demanda ce qui se passait, et l’hybride s’aperçut bien vite que, en fin de compte, il n’en savait pas grand-chose. Mis à part le fait qu’entre-temps, une autre adolescente avait décidé de se mêler de la partie. Cette fois-ci, Vayuhq reconnut immédiatement la nouvelle arrivante. Il faut aussi dire qu’elle était difficile à oublier, cette voisine de classe qu’il avait eut au premier, et dernier, cours d’alchimie métallique auquel il ait participé. Son nom était Mary s’il se souvenait bien, bien qu’il ne l’ait pas directement entendu de la bouche de cette dernière ce nom.

« Je crois qu’on va avoir droit à une intéressante conversation. » dit-il, autant pour Amily que pour lui-même.

Encore une fois, on ne fit pas attention à lui, ce qui commençait à l’embêter un peu. Si Amily ne s’était pas tenu devant lui à le questionner, il aurait presque cru qu’il avait disparu aux yeux des vivants, idée tout à fait stupide à son avis. L’hybride retourna un salut courtois à Kyô lorsque celui-ci lui envoya discrètement la main. Cependant, l’atmosphère jusque là détendue, presque joviale s’il pouvait se le permettre, fut brusquement inter changée lorsque Mary eut le malheur de poser sa main sur la partie postérieure de la demoiselle à la guitare, dont il ignorait le nom. L’expression de Kyô, auparavant souriante, changea l’instant d’après pour révéler un tout autre aspect du jeune homme. Cette dernière semblait un peu plus malsaine que la précédente, ainsi que davantage rebelle. Le vendeur saisi brusquement la main de Mary, semblant la serrer avec force, puis murmura quelque chose à l’oreille de cette dernière. Bien entendu, L’hybride ne pu entendre ses paroles mais il se doutât qu’elles n’étaient pas une bénédiction. Le nombre de gens sur la place avaient sérieusement réduit. En fait, la scène avait perdu son intérêt auprès des villageois et des hystériques. Seuls quelques curieux observaient avidement, attendant la suite des événements. La jeune fille aux côtés de Kyô, apparemment mal à l’aise, tenta de ramener ce dernier à la raison, disant que ce n’était qu’une petite farce.

*Ça, j'en doute beaucoup.*

Du peu qu'il avait vu de Mary, l'adolescent se disait que celle-ci ne lâcherait pas une si belle occasion de s'amuser un peu avec le peuple ainsi rassemblé. Après tout, elle l'avait bien fait avec le professeur d'alchimie, bien que ce dernier l'avait un peu cherché avec sa trop grande familiarité. Peu importe, lui ne verrait aucun inconvénient à participé un peu, quitte à peut-être se faire remettre à sa place.